◮ Surnom(s) : ju', ann, bird' ◮ âge : 18 ans ◮ date de naissance : 13 juillet 1994 ◮ lieu de naissance : los angeles ◮ lieu de vie: great falls, tout récemment◮ métier : aucun pour l'instant, la miss a toujours vécu de l'argent de ses parents ◮ situation amoureuse: en couple ◮ groupe : city slickers ◮ avatar: annasophia robb ◮ crédits : tumblr

cheval ou voiture ? j'adore faire que l'équitation, mais une limo avec chauffeur, c'est le pied !
chapeau ou casquette ? si j'ai quelque chose à porte dans mes cheveux, ça sera un bandeau, rien d'autre
sandiags ou chaussure de ville ? talons hauts, qu'elle question
théâtre ou rodeo ? Théâtre. Le rodéo, c'est trop triste
air frais ou air citadin ? l'air frais ne me dérangerait pas si je pouvais avoir accès à mon iphone et au centre commercial.
country ou rock ? les deux sont écoutables
café ou thé ? double espresso le matin et thé à la menthe poivrée avant le dodo.

Vous & Great Falls : comment y es-tu arrivé et qu'en penses tu ? Cela faisait longtemps que moi et Isaac pensions à quitter Los Angeles. Non pas parce que nous n'aimons pas cette ville, mais surtout à cause de M. & Mme Davis, qui ne peuvent voir Isaac en peinture. Pourtant, nous n'étions pas encore totalement décidé car nous n'avions nulle part où aller. Mais lorsque j'ai entendu les parents parler d'Ezra en disant qu'il habitait maintenant à Great Falls, nous avons pris la décision d'aller rejoindre Ezra. Il était ma seule famille maintenant. Bien entendu, je ne m'attendais pas à le trouver dans un coin si... perdu... Mais je dois avouer que même si cette ville est peu moderne et plutôt hostile, elle a un certain charme. Et puis, maintenant que père et mère ont coupés ma carte de crédit, je n'aurai plus les moyens de fréquenter des centres d'achats décents. Alors peut-être que je réussirai à survivre à cette ville tout comme là fait mon frère depuis un certain temps.

Julee-ann, c'est une perle. Bien que superficielle et très bourgeoise, elle n'en est pas moins généreuse et sympa. Depuis un certain temps, elle est du genre fêtarde et rebelle, elle essaie de faire péter les plombs à ces parents, c'est pour ça. Enfin, il faut avouer que faire danser la rumba toute la nuit, c'est plutôt son genre. Jul' est le genre de fille à devenir amie avec n'importe qui, très rapidement. On pourrait presque dire qu'elle est naïve, qu'elle accorde sa confiance trop facilement, mais ça fait partie de son charme. Sinon... eum... je dirais qu'elle est impulsive, oui c'est ça ! Elle a tendance à faire les choses rapidement, sans trop penser avant d'agir. Elle s'est d'ailleurs souvent mit les pieds dans les plats à cause de cela. Enfin, on l'aime pareille notre petite bourgeoise. Abby, amie de julee-ann

Julee-Ann, c'est notre petite princesse, enfin... Elle l'était. Elle avait toujours été notre petite ange, toujours polie, raisonnable et intelligente. Elle étudiait fort, performait dans ses compétitions équestre, du moins, c'était jusqu'à ce que son frère nous quitte. Après, elle a eu comme une crise d'adolescence prématurée. La petite fille parfaite que nous avions ne l'était plus tant que ça. Nous n'avons rien su pendant un moment, car elle cachait très bien son jeu. Mais lorsque je l'ai trouvé étendue dans sa chambre, un tas de pilule recouvrant le plancher, j'ai compris à quel point elle avait été fine manipulatrice pour nous cacher ce pan de sa vie. Depuis, les choses ont été de mal en pis. Non seulement nous cachait des choses, mais elle osait nous mentir devant des amis, devant des gens hauts placés, nous ridiculisant aux yeux de tous. Définitivement, notre fille a changé. Le petite ange que nous chérissions s'est transformée en démon... mère et père de julee-ann

Julee-ann est une jeune fille très intelligente qui a compris très vite comment jouer avec les gens. Probablement du au fait qu'elle devait se présenter sous deux façades. L'une étant la fille parfaite pour ses parents et pour la haute société, l'autre ressemblant plus ou moins à celle qu'elle est, pour ses amis intimes ou les endroits où on ne la connaissait pas. Elle s'est mise à agir ainsi très tôt, lorsque son frère a quitté le domicile familial. Ce comportement pourrait s'expliquer par le fait que déçu du comportement de leur fils, ses parents auraient reportés leurs espoirs pour elle. La jeune fille ne voulait pas les décevoir alors elle se créait une autre identité, plus parfaite, plus angélique. Mais la pression était trop forte et la mince ligne entre ses deux personnalités s'est brisée. Lorsque sa mère l'a trouvé en overdose, c'était surtout un appel à l'aide. Elle aurait voulu que ses parents lâche la pression et l'accepte comme elle est, une jeune fille simple, avec ses défauts, mais pleine d'empathie pour les autres et toujours souriante et joyeuse. extrait du rapport de la psychologue de julee-ann

Julee était très mignonne avec ses yeux pairs expressifs. Je me rappelle que je pouvait lire dans ses yeux avant même qu'elle prononce quelque chose. Ses chevaux blonds mi-long étaient parfois bouclé et parfois lissé. J'avais un faible pour ses boucles qui rebondissaient quand elle marchait avec ses airs de mannequin. Cette fille, elle était toujours habillé ultra chic. Un peu à la Blair Waldorf. Pas question qu'elle sorte en jogging, jupe et talons hauts étaient très souvent de mise. Si elle avait été un peu plus grande, elle aurait surement pu être mannequin, elle avait le corps pour. Enfin, Julee était définitivement jolie, c'est certain ! ex petit ami de julee-ann

◮ Prénom/pseudo redvelvet ◮ Âge 18 ans ◮ scénario ou inventé scénario ◮ présence 5 jours/7 ◮ où as-tu connu BM? je suis Charlie-may ◮ ton avis ici ◮ petit mot de la fin j'espère que ce que j'ai fait avec le scénario va te plaire

« Ezra James Davis, il est hors de question que tu n’ailles pas à Harvard ! Tous les hommes de la famille Davis y vont, et ceux depuis plus de 5 générations ! » La fillette était assise sur son lit, les jambes croisés, ses écouteurs sur les oreilles. Malgré la musique à plein volume, elle entendait encore la dispute qui faisait rage dans la pièce d'à côté. Cela durait depuis un certain temps déjà. Ce n'était pas la première fois que son père et son frère se disputaient au sujet des études de ce dernier, mais cette fois, la jeune fille de onze ans savait que ça allait mal finir. Quelques heures plus tôt, son frère était venu la voir pour lui expliquer qu'il devait quitter la maison pour quelques temps. Même si elle était loin de comprendre pourquoi il voulait quitter le nid familial ainsi, la jeune fille ne pouvait rien faire d'autre que d’acquiescer. Elle savait très bien que lorsque son frère avait ce regard, c'était impossible de le faire changer d'idée. Il était déterminé a quitter la maison et même les pleurs de sa petite soeur n'allaient rien n'y changer. De toute façon, il lui avait promit de lui envoyer des lettres et de l'appeler le plus souvent possible. Résignée, la jeune fille avait donc accepté la décision, non sans laisser couler quelques larmes sur ses joues roses. Son frère l'avait embrasser sur le front et après une dernière accolade lui avait fait promettre d'être sage et d'être forte malgré tout. Dans la pièce adjacente, les cris s'étaient calmés. Après un sourd claquement de porte, le calme était revenu dans la maison. Enlevant ses écouteurs, Julee se releva, hésitant à sortir hors de sa chambre. Après un court instant, elle fini par ouvrir la porte et se glissa hors du corridor. Marchant sur la pointe des pieds elle se rendit dans la cuisine, où se trouvaient ses deux parents, effondrés. En l'entendant arriver, sa mère tourna vers elle un regard rempli de larme. Son père quant a lui, semblait bouiller de rage. En voyant ses quatre yeux se poser sur elle, elle comprit qu'il était partit. Désormais, toute la pression serait reportée sur elle. Elle allait devoir devenir la parfaite petite davis.

Lorsque la blonde ouvrit les yeux, elle mit longtemps avant de réaliser qu'elle était dans un lit d'hôpital. Les murs blancs et décrépis qui l'entouraient et les sondes piqués dans ses veines la ramenèrent assez rapidement à la réalité. Dans un coin, elle remarqua sa mère qui s'était endormie dans un coin. A cet instant précis, elle semblait tellement fatiguée. Elle qui était habituellement si tiré, si maquillé et parfaite, dans cette position, à peine maquillé et avec ses cheveux dépeigné, elle n'avait plus l'air de la parfaite Mme Davis. Il est vrai que les trois jours qu'elle avait du passer à veiller sa fille dans le coma ne l'avaient pas épargnée. Regardant le plafond, n'ayant pas la force de se lever, Julee tentait de se rappeler comment elle était atterrie dans cette chambre. Elle se souvenait d'être rentrée d'un party où elle était allée avec des amies. Elle s'était tirée par la fenêtre, mais de toute façon elle aurait pu passer par la porte d'entrée et ses parents n'en auraient pas eu conscience. Elle se souvenait avoir bu beaucoup d'alcool, avoir danser avec plusieurs mecs, elle avait fait la fête quoi. Pourtant, se soir là, elle se souvient qu'elle n'avait aucun envie de faire la fête. Quelques heures auparavant, elle s'était fait engueulée par sa mère qui lui reprochait de ne pas être assez assidue, de ne pas être assez parfaite. Encore une fois, la jeune fille s'était fait dire qu'elle n'était digne d'être une Davis. Habituellement, elle encaissait le choc, mais cette fois c'était de trop. Elle était partie faire la fête avec l'idée de montrer à sa mère à quel point elle n'était pas une bonne Davis. Lorsqu'elle était revenue chez elle, l'alcool lui brouillait les idées. Ses souvenirs étaient flous, mais elle se rappelait d'avoir avaler quelques pilules qu'elle avait trouvé dans la pharmacie. Ensuite, plus rien. Blackout total. Maintenant, elle se réveillait dans la chambre d’hôpital, entourée d'appareils étranges. Perdue dans ses pensées, la jeune fille n'avait pas vu que sa mère s'était réveillée. « oh chérie ! Chérie, tu es enfin réveillée. » Pas de reproches cette fois, seulement une petite voix mielleuse. Se sentait-elle mal, est-ce qu'elle avait compris que c'était sa faute si tout ça se produisait. Que c'était elle qui avait créer ce problème ? « ne t'inquiète pas... On va régler ton problème. Tu iras voir le meilleur psychologue si il faut » Non... Définitivement, elle n'avait rien compris...



La jeune fille débarqua de la limousine en remerciant le chauffeur. Dans la cours, les regards se tournèrent vers elle. Ignorant les curieux qui se demandaient qui pouvait bien venir à l'écurie en limousine, elle attrapa son sac et pris la direction des paddocks. À peine était-elle rendue à la barrière qu'une voix masculine l'interpella. « excusez-moi mademoiselle. Le paddock est réservé aux propriétaires de chevaux. Si vous venez pour un cours où une ballade il faut aller s'informer auprès des propriétaires... » Faisant virevolter sa chevelure blonde, elle se retourna pour voir à qui elle avait à faire. Le jeune homme qui venait de l'interpeller était un beau brun qu'elle n'avait jamais vu aux écuries auparavant. Il est vrai qu'avec ses pantalons ralph lauren, ses bottes de pluie aigle et son polo guicci, elle ne faisait pas très cowgirl. Souriant de toutes ses dents, Julee haussa les épaules « je sais. » Sans un mot de plus, elle se retourna et continua sa marche en direction du pré. Elle siffla et au bout d'un moment, un poney busckin arriva au triple galop. Faisant lever des bottes de gazon, il s'arrête de justesse avant de foncer dans la clôture électrique. Ravie de l'effet qu'elle venait de créer, la jeune femme jeta un regard par dessus son épaule vers le garçon d'écurie. Celui-ci semblait moins bavard tout d'un coup. Après avoir mit un licol à son poney, la blonde sortie du paddock, l'air satisfaite. En passant à côté du jeune homme, elle ne put s'empêcher de lui de reluquer le nom qui était écrit sur son polo « au fait, je m'appelle Julee-Ann si tu veux t'assurer que je suis bel et bien la propriétaire de ce cheval. Enchantée Isaac » elle lui fit un clin d'oeil avant de continuer son chemin vers les écuries.


La jeune fille était assise dans le salon, l'air terrorisée. Dans quelques minutes à peine, on allait cogner à la porte et le moment de vérité serait arrivé. Elle allait présenter son copain à ses parents, après 5 mois de relations. Elle était littéralement morte de trouille. Depuis qu'elle était assise là, elle s'était passé la main dans les cheveux aux moins une dizaine de fois et elle avait lissé sa jupe pour essuyer ses mains moites tout autant. Lorsque le carillon résonna, elle sursauta. Elle sentait le regard pesant de sa mère et de son père qui lui brulaient le dos lorsqu'elle alla ouvrir la porte. Tout d'un coup extrêmement gênée, elle déposa un bref baiser sur les lèvres du brun avant de se retourner vers ses parents. « Mère, père, je vois présente Isaac. » Charmant et pas le moins du monde intimidé, le jeune homme sourit aux parents, serrant avec assurance la main que M. Davis lui tendait. À côté de lui, la jeune femme ne tenait plus en place. Elle regardait sa mère d'un air peu assuré, se demandant ce qu'elle allait penser du jeune homme.

Le souper s'était terminé sans accroc, les parents de julee avaient été polis, posant des questions au jeune homme en essayant d'en savoir le plus possible sur lui. Maintenant qu'il était partie, Julee craignait le pire. Elle savait que leur air trop calme ne présageait rien de bon. Lorsque son père referma la porte derrière Isaac, la blonde se mordit les lèvres. En voyant le regard qu'il lui lança, elle se doutait que la soirée n'allait pas finir comme elle avait commencé. « Je ne comprends même pas comment tu peux oser nous présenter un jeune homme comme ça... Un garçon d'écurie Julee ! À quoi pensais-tu ! » Défiant son père du regard, Julee n'eut même pas le temps de répondre que sa mère enchaînait « Oh non jeune fille. Tait-toi. Tu ne sais pas à quel point tu nous as fait honte à ton père et moi ! J'espère que tu ne prévois pas revoir ce jeune homme. J'appelle la propriétaire de l'écurie immédiatement pour lui dire que nous transférons Spirit dès demain. À moins que tu préfères que je lui demande de renvoyer ton cher Isaac. » Ces dernières paroles étaient prononcés avec dédain. « Non ! tu n'as pas le droit de contrôler ma vie comme ça ! Je l'aime et tu ne peux rien y changer ! » La jeune femme regardait sa mère et son père tour à tour, découragée. Malgré tout, elle n'était pas surprise de leur réaction. Bien qu'elle avait espérée qu'ils comprennent, elle avait toujours su qu'ils s'y opposeraient. Pourtant, les menaces, à sa propre fille. C'était trop. Verte de rage, la jeune femme quitta la pièce sans rien dire. Elle claqua la porte de sa chambre, frustrée. Attrapant son téléphone, elle composa le numéro de isaac. Il était temps qu'elle aussi vole de ses propres ailes. Pour une fois, ses parents n'auraient pas d'emprise sur elle.